Le Bol d'air jacquier

Atelier autour du “Bien vieillir”
Samedi 18 novembre 2023
de 15h à 17h.

nous aborderons la thématique sous les angles suivants :

  • Génétique et épigénétique : pourquoi dit-on de certaines personnes qu’elles « vieillissent bien » ou le contraire.
  • Qu’est-ce que le vieillissement, et comment se traduit-il.
  • Importance de l’alimentation , pro ou anti oxydante.
  • L’oxygène, élément essentiel et déterminant.

Le Bol d’air est en libre-service à la boutique.
Vous pouvez venire faire votre séance sur les heures d’ouverture du magasin.

1€ la minute

Des cartes d’abonnement vous permettent d’accéder librement à l’appareil pour des séances de durées variables (de 1 à 6 mn)

Lundi 14h30 – 19h
Mardi au samedi 9h – 19h

19 rue de l’Annexion
74000 Annecy

04.50.51.09.16 contact@promelis.fr

L’oxygénation des cellules :

Pollution atmosphérique, mauvaise alimentation, stress…
Pas facile de respirer efficacement avec nos modes de vie actuels.
Nous manquons tous d’oxygène alors que l’air que nous respirons en contient suffisamment pour répondre à nos besoins.
Une oxygénation optimale est essentielle pour vivre, protéger, entretenir, améliorer notre santé et nos défenses naturelles.

À quoi servent l’oxygène et les mitochondries ?

Le premier rôle de l’oxygène est de permettre la production d’énergie par l’organisme pour ses propres besoins (maintien de la température interne par exemple) et pour l’ensemble de ses activités, physiques, psychiques et mentales.

Tout se passe au niveau des cellules, dans de petits organites appelés mitochondries : en présence d’oxygène, elles transforment les nutriments issus du métabolisme en énergie directement utilisable par la cellule (ATP).

On peut comparer les mitochondries à des « piles » chargées de produire, stocker et distribuer l’énergie nécessaire à la cellule.
Les cellules humaines peuvent contenir 1 500 mitochondries et jusqu’à 6 000 pour les cellules nerveuses.
Une bonne santé mitochondriale est à la source de l’énergie vitale.

Comment l’oxygène arrive-t-il jusqu’aux cellules ?

L’air qui nous entoure contient environ 21 % d’oxygène. Lorsque nous inspirons, il pénètre jusqu’aux alvéoles pulmonaires dont les parois sont tapissées de capillaires sanguins. Chez un humain, cette surface de contact peut atteindre plus de 75 m² par poumon, soit le tiers de la surface d’un terrain de tennis. Là, l’oxygène passe dans le sang qui irrigue toutes les cellules du corps. A l’expire, le sang relâche dans les poumons le gaz carbonique dont il est chargé.

Quel est le rôle de l’hémoglobine ?

Dans le sang, l’essentiel de l’oxygène se combine à l’hémoglobine des globules rouges qui lui sert de transporteur. Cette protéine contient le fer qui attire l’oxygène et lui permet de traverser la paroi alvéolaire, pour être acheminé et délivré vers les cellules. C’est elle aussi qui capte le gaz carbonique, déchet de la respiration cellulaire, et le rapporte jusqu’aux poumons où il est éliminé dans l’air expiré.

Une invention sous le signe du biomimétisme

Marie-Laure Delanef rencontre René Jacquier en 1989.
Ce chimiste, à l’esprit visionnaire, utilise des méthodes de pensée et d’observation qui lui permettent d’aborder de nombreux domaines, de la chimie classique, organique et tinctoriale, à la physique et à la biologie. Il s’intéresse à la biosynthèse et fait de nombreuses découvertes dans ce domaine.

Son souhait était de normaliser l’oxygénation des personnes malades pour améliorer leur vitalité et leurs capacités régénératrices. Conscient que l’augmentation d’oxygène respiré n’était pas la solution, il observe la nature et s’en inspire.
« On envoyait les gens au grand air pour qu’ils recouvrent la santé. Ce fut le point de départ de mon analyse. Végétation, soleil, fonction chlorophyllienne, ces processus naturels engendrent un oxygène très actif. Les endroits les plus profitables étaient ceux où il y avait des résineux. Ils émanent des terpènes, composants de la résine de pin et de l’essence de térébenthine qui en est issue. C’est ce que je recherchais. Lors du processus de respiration, l’oxygène de l’air s’associe à l’hémoglobine. Les terpènes du pin maritime, non saturés et capables de les lier plus finement, allaient rendre l’oxygène davantage disponible à la cellule. »

A partir de cette observation, il invente la méthode d’oxygénation biocatalytique et réalise ses premiers prototypes Bol d’air en 1947.

La sous-oxygénation, c’est quoi ?

L’hypoxie est définie comme une réduction de l’apport en oxygène au niveau des tissus, tandis que l’hypoxémie est une diminution de la concentration d’oxygène dans le sang. Une hypoxie est la conséquence d’une hypoxémie. Elle survient lorsque l’apport en oxygène est trop faible par rapport au besoin cellulaire. Même si l’oxygène est en quantité suffisante dans l’air et même si l’organisme compense un manque par une respiration plus ample ou plus rapide, l’organisme ne l’assimile plus correctement.

C’est ce qui se passe dans de nombreuses situations :

> Pollution atmosphérique et tabagisme
Les polluants tapissent les voies respiratoires et freinent les échanges gazeux. D’autres, comme le monoxyde de carbone, prennent la place de l’oxygène sur l’hémoglobine.

> Maladie
De nombreuses pathologies sont source d’hypoxie, notamment les maladies respiratoires et circulatoires.

> Stress
Le stress augmente considérablement le besoin en oxygène des tissus. La respiration s’accélère en même temps qu’il y a une production accrue de radicaux libres en excès qui empêche l’organisme de s’adapter à la situation et débouche finalement sur une hypoxie.

> Exercice physique intense
L’organisme ne peut plus faire face à la demande énergétique.

> Sédentarité
Le mouvement accélère la circulation sanguine et permet de meilleurs échanges gazeux. Le manque d’oxygène tissulaire est lié à la sédentarité.

> Vieillissement
Tout au long de la vie, la capacité globale de l’organisme à utiliser l’oxygène apporté par la respiration diminue. Les métabolismes sont ralentis et les mitochondries fonctionnent moins bien.

> Altitude
En altitude l’air est raréfié en oxygène. Pour pallier ce manque, l’organisme fabrique plus de globules rouges. Cependant cette adaptation prend du temps et n’est pas évidente pour tous les organismes.

De plus, l’hémoglobine ne cède l’oxygène aux cellules que sous certaines conditions de température, d’acidité ou de taux de gaz carbonique dans l’air : il suffit qu’il dépasse 0,06 % pour entraîner une hypoxie. Or, c’est presque toujours le cas en ville où ce taux oscille entre 0,09 et 0,14 %.

Quels sont les dangers de la sous-oxygénation ?

Les conséquences de l’hypoxie sont multiples. En voici quelques-unes :

> Altération du métabolisme
Le déficit d’oxygène provoque un ralentissement de la production d’énergie dans la cellule. Résultat : les réactions biochimiques d’assimilation des nutriments sont incomplètes, les déchets s’accumulent et intoxiquent progressivement l’organisme.

> Excès de radicaux libres
La mitochondrie ne fonctionne plus correctement et les métabolismes sont ralentis. L’organisme fabrique des radicaux libres en excès (stress oxydant). En outre l’hypoxie entraînant une dégradation des systèmes de défenses anti radicalaires : c’est un double stress pour la cellule.

> Impact sur le système nerveux
Le cerveau et le système nerveux central sont les plus gros consommateurs d’oxygène et donc les premiers touchés (le cerveau représente environ 2 % du poids total d’un homme, mais consomme 20 % de l’énergie totale). D’où le déclenchement de signaux d’alarme, en cas d’hypoxie cérébrale : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire…

La solution Bol d’air pour une oxygénation équilibrée

Le Bol d’air optimise l’oxygénation de l’organisme. Il augmente et entretient notre faculté d’assimilation de l’oxygène normalement respiré.
Cette méthode unique contribue à préserver un bon état de santé globale.

Objectif : respirer plus efficacement

Notre capacité à utiliser l’oxygène de l’air diminue en raison de nombreux facteurs comme les pollutions, les conditions de vie, le stress, le vieillissement, la maladie…
Le Bol d’air apporte une solution à la sous-oxygénation cellulaire (hypoxie) qui en découle.

Lorsque nous respirons, l’oxygène pénètre au fond des alvéoles pulmonaires. Il se lie à l’hémoglobine de façon instable et forme avec elle l’oxyhémoglobine.
L’oxyhémoglobine, transportée par le sang dans tout l’organisme, cède son oxygène aux cellules sous une forme assimilable. Elle se réoxygène en revenant aux poumons et le cycle recommence.
Dans l’air que nous respirons, même en cas de pollution extrême, l’oxygène est constamment disponible et sa concentration est de 21 % depuis des millénaires. Si nos cellules manquent d’oxygène, c’est notre capacité à l’utiliser qui est en cause.

La solution Bol d’air inspirée de la nature

Conscient du fait que la simple augmentation de la quantité d’oxygène respirée n’était pas la solution, René Jacquier, chimiste, chercheur, inventeur, souhaitait trouver un support naturel, facilement accessible, transformable en porteur d’oxygène. Ayant constaté que depuis l’Antiquité, les lieux de santé (sanatorium et aérium) se situaient dans des forêts de pins et de sapins, d’observations en expériences, il s’intéressa à l’air des forêts de résineux, lesquelles lui apportèrent une réponse à ses questions. Depuis plus de 75 ans, ses travaux ne cessent d’être confirmés par des observations et publications scientifiques.

Le rôle de l’huile essentielle de résine de pin

La résine de pin des Landes (Pinus Pinaster), riche en alpha et béta-pinènes, est composée de molécules aromatiques insaturées qui offrent la possibilité d’une liaison chimique supplémentaire. Dans l’atmosphère et dans certaines conditions physiques et météorologiques, elles se chargent fortement en oxygène, ce qui les rend très réactives. C’est à partir de ce phénomène naturel que René Jacquier a imaginé la solution Bol d’air : utiliser l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine) pour créer un transporteur d’oxygène.
Orésine est cette huile essentielle de qualité optimale, récoltée de façon écologique.

Un oxygène hautement assimilable

Les pinènes de cette huile essentielle, Orésine, transformés par peroxydation, deviennent des facilitateurs de l’oxygénation cellulaire. D’où le nom de biocatalyseurs que leur donnait René Jacquier.

Le mécanisme est triple :
> L’oxygène est mieux distribué vers les tissus. L’hémoglobine “capte” plus volontiers les pinènes oxygénés que l’oxygène seul. À quantité équivalente dans l’air inspiré, elle en transporte davantage vers les cellules.
L’oxygène, transporté par l’intermédiaire des pinènes, est moins facilement lié à l’hémoglobine et plus facilement libéré par les cellules.
> L’oxygène est délivré sous une forme naissante, hautement assimilable par la cellule.

Une oxygénation cellulaire équilibrée

Avec le Bol d’air, l’organisme est simplement et naturellement mieux oxygéné :
> la respiration cellulaire s’effectue sans risque de stress oxydatif lié au déficit ou à l’excès d’oxygène
> la fonction mitochondriale s’améliore :

  • accroissement de la production d’énergie
  • renforcement des défenses anti radicalaires
  • la biodisponibilité de l’oxygène est améliorée.

Cette approche ne consiste pas à inhaler plus d’oxygène, ni à introduire de l’oxygène dans le corps par d’autres méthodes quantitatives (par l’intermédiaire de l’eau ou à l’aide d’air pressurisé). Elle est sans danger et sans accoutumance.

Le Bol d’air est en libre-service à la boutique.
Vous pouvez venire faire votre séance sur les heures d’ouverture du magasin.

1€ la minute

Des cartes d’abonnement vous permettent d’accéder librement à l’appareil pour des séances de durées variables (de 1 à 6 mn)

Lundi 14h30 – 19h
Mardi au samedi 9h – 19h

19 rue de l’Annexion
74000 Annecy

04.50.51.09.16 contact@promelis.fr