Description
Harpagophytum EPF / Harpagophytum procumbens – Griffe du Diable
L’harpagophytum est la solution naturelle pour se prémunir des désagréments articulaires ou des rhumatismes. Les douleurs articulaires, quelles soient dues à l’âge ou à une activité physique intense, ne doivent pas être une fatalité !
L’Harpagophytum contribue à entretenir le bien-être et la souplesse. Une bonne mobilité à tout âge ou en cas de sport intensif. La racine d’harpagophytum aide à mieux éliminer les déchets dans l’organisme. Elle contribue à diminuer les excès d’acidités et soulage, en contribuant à plus de souplesse dans la gestuelle et les déplacements.
- Soulage naturellement les douleurs inflammatoires
Histoire de l’Harpagophytum
Dans sa région d’origine, le sud-ouest africain (Namibie et Afrique du Sud), la Griffe du diable est utilisée depuis toujours par les peuples indigènes contre les troubles digestifs, la constipation, les maladies du sang, ainsi que comme fébrifuge, pour soulager les douleurs p. ex. de l’accouchement et pour le traitement des blessures cutanées, ulcères et furoncles. La connaissance par les Occidentaux des applications médicales de la Griffe du diable remonterait au soldat des troupes allemandes et futur fermier G.H. Mehnert qui, pendant les révoltes des Hottentots et des Herreros en 1904-06, avait acquis ce savoir phytothérapeutique auprès d’un indigène initié.
En Europe, où elle aurait été introduite pour la première fois par O.H. Volk en 1953, la racine de Griffe du diable a été utilisée surtout contre des maladies métaboliques. Les scientifiques constatèrent très vite qu’elle était particulièrement efficace lors d’arthrose. Dans les années 70, cette racine médicinale africaine a connu en Europe et en Suisse un engouement tel que l’offre n’a pas toujours pu satisfaire la demande. Depuis, cette plante médicinale a conquis une place durable en phytothérapie. La plante doit son nom français aux crochets en forme de griffe dont sont munis les fruits, qui peuvent ainsi se disséminer en s’accrochant aux pattes des animaux ; ces crochets sont tenaces et peuvent infliger des blessures sérieuses.
Quant à son nom scientifique, la plante le doit à la forme de ses fruits lignifiés qui rappelle un grappin, en grec « harpagé ». Le nom de Griffe du diable risque de prêter à confusion, vu qu’il désigne aussi deux fleurs alpines indigènes de la famille des Campanules : la raiponce hémisphérique (Phyteuma hemisphaericum) et la raiponce globuleuse ou orbiculaire (Ph. orbiculare). Aucune des deux n’a d’utilisation médicale.
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