Protection électromagnétique / Protection ondes / CMO

Histoire du magnétisme et de l’électromagnétisme

” Le Magnétisme “

L’observation du magnétisme remonterait à environ 3000 ans et repose sur la découverte de pierres qui pouvaient attirer le fer. Ces pierres ont été découvertes dans la région de Magnésie en Asie mineure. C’est le nom de cette région qui est resté pour qualifier le phénomène de « magnétisme » minéral.

Le philosophe grec Platon (-427 av. J.-C.-347 av. J.-C.) est le premier à disserter sur les propriétés de la pierre d’aimant et à les rapprocher de l’inspiration poétique. ( Ion)  

La civilisation chinoise livre vers -220 av. J-C, un des plus vieux écrits parlant de la pierre d’aimant dans Le Guanzi 管子, (une encyclopédie composée de textes remontant à l’époque des Royaumes combattants)

Pour les européens, l’invention de la boussole est située à la fin du XIIe siècle. Alexander Neckam (1157-1217) a écrit « De naturis rerum » dans lequel il mentionne la « boussole qui indique le nord et guide les marins. 

C’est surtout Paracelse (1493-1541) qui cite l’utilisation de l’aimant réduit en poudre et mélangé à d’autres substances dans les emplâtres : pour guérir les plaies et pour retirer les balles du corps, les pièces de fer, les dars ou flèches. Il se sert aussi de l’aimant pour la contention des hernies (en faisant ingérer des broyats d’aimant) et d’une façon générale pour attirer hors du corps de nombreuses maladies. Tout cela ne serait en somme guère nouveau. Mais Paracelse établit une relation entre l’aimant terrestre et le magnétisme cosmique.

En 1600, William Gilbert découvre le géomagnétisme avec l’aiguille d’une boussole et d’un modèle réduit de la Terre taillé dans de la pierre d’aimant. En observant le même comportement de l’aiguille à la surface de la terre et dans sa reproduction magnétique, il en déduit que la planète est un gigantesque aimant.

Au XVIIe siècle, le physicien René Descartes (1596-1650) marque une évolution dans l’histoire du magnétisme. Il fut le premier à établir une théorie physique sur le magnétisme dans son ouvrage « Les principes de la philosophie » (1644).

” l’électricité “ :

Le terme « électricité » a pour racine le mot grec « êlektron » (ήλεκτρον) qui désigne l’ambre jaune, une résine fossile possédant des propriétés électrostatiques.

Ces deux racines indiquent que les effets de l’électricité et du magnétisme ont été découverts tôt dans l’histoire de l’humanité. L’aimantation naturelle, l’électricité de la laine, sont autant de phénomènes que les Hommes apprirent à connaître et à utiliser.

Unification de l’électricité et du magnétisme

Dans une expérience devenue historique, le Danois Hans Christian Œrsted (1777-1851) démontre en 1820 les rapports entre l’électricité et le magnétisme. Il « tend une portion rectiligne d’un fil parcouru par un courant au-dessus d’une aiguille aimantée » et observe que l’aiguille « quitte sa position ». Après avoir assisté à une répétition de cette expérience, le physicien français André-Marie Ampère (1775-1836) édifie en quelques jours une théorie des champs magnétiques engendrés par les courants continus en émettant l’hypothèse que les propriétés des aimants sont dues à la circulation de courants moléculaires à l’intérieur de la matière. Publié en 1827, son traité Sur la théorie mathématique des phénomènes électrodynamiques uniquement déduite de l’expérience constitue le fondement de l’électromagnétisme moderne.

 L’HOMME ELECTROMAGNETIQUE

Depuis ses atomes jusqu’à ses grands systèmes et appareils, en passant par l’échelon cellulaire, l’homme est émetteur et récepteur de champs électromagnétiques, comme tout être biologique.

Il a été mis en évidence dans les années 80 des cristaux de magnétite (Fe3O4) dans le cerveau et certaines zones du corps.

Ces cristaux, dont on ignore la fonction exacte, sont sensibles au champ magnétique terrestre et à ses variations, et pourraient donc être influencés par les CEM de très basse fréquence.

Le fonctionnement du cerveau génère des courants électriques bien connus, captés sur le scalp grâce à l’EEG, qui développent des CEM de très faible intensité mis en évidence plus récemment par les SQUID composants les magnétoencéphalographes (MEG).

Le fonctionnement du cœur est aussi à l’origine de CEM, ainsi que l’activité du système nerveux périphérique, du système neuro-musculaire….

Tous ces CEM se trouvent dans la gamme des ELF (Extremly Low Frequency de 0,0001 Hz à 3000 Hz). 

Certains échanges d’informations intercellulaires s’opèrent par transmissions de photons lumineux, mis en évidence par les travaux de F.A Popp.

La liaison chimique est elle-même électromagnétique ; toute modification de celle-ci entraînant émission ou absorption d’énergie EM hyperfaible.

Dans le domaine des mouvements ioniques, les cellules produisent diverses émissions électromagnétiques cohérentes dans un très large spectre de fréquences.

Cette caractéristique de résonance cyclotronique des ions de l’organisme est située dans la zone de nombreuses fréquences d’émission de nos appareils électroniques, ou de leurs premières harmoniques. Par exemple, le rafraîchissement d’un écran se fait de 60 à 100 Hz ; les ELF d’un téléphone portable comprennent une émission à 30-40 Hz, fréquence du calcium, ou à 217 Hz, première harmonique du Fer 51, etc.

 

L’émission de compensation du CMO est conçue pour maintenir, au niveau cellulaire, les liaisons ions-protéines perturbées par le champ polluant et ainsi protéger le fonctionnement électromagnétique naturel des cellules jusqu’aux organes, comme le cerveau ou l’oeil.

PRINCIPE DES CMO

Des solutions aqueuses structurées par traitement électromagnétique émettent des signaux électromagnétiques hyper faibles et bio-actifs, afin de maintenir la liaison ion-protéine.

ions dans cavites proteine

Chaque CMO contient une solution saline microcristalline qui, activée par le rayonnement de l’appareil, va générer un signal hyper-faible ; c’est le signal de compensation. Ce signal de compensation va entrer en résonance avec les récepteurs des organismes vivants, et permettre ainsi aux cellules de l’organisme d’échanger de façon normale et naturelle, malgré la présence du rayonnement électromagnétique artificiel.
Agissant directement sur le biologique, le CMO ne modifie pas l’intensité des champs émis et ne perturbe donc pas le fonctionnement électronique des appareils.

Les ions au sein de leur cavité protéinique ont un mouvement en oscillation et en rotation.
L’ion calcium par exemple a une fréquence propre de rotation à 35 Hz au sein de cette cavité, et une fréquence propre en oscillation comprise entre 1 et 2 GHz. Ces valeurs sont dans les plages de fréquences des ondes émises par les téléphones portables par exemple.
Ces similitudes vont favoriser la rupture des liaisons entre ces ions et leur protéine, source de désordres biologiques. Le CMO va maintenir la liaison entre l’ion et la protéine.

COMMENT CA MARCHE ?

Les CMO fonctionnent suivant le principe des résonances bioactives. Quelques bases indispensables pour comprendre ce principe des résonances bioactives.

Les mesures des ondes

Pour rappel deux paramètres sont mesurés pour les ondes :

– Une mesure de l’intensité de ces ondes, s’exprimant en Gauss ou en Tesla pour un champ magnétique, et en Volt/m pour le champ électrique. Pour les ondes électromagnétiques artificielles (téléphones mobiles, WiFi, téléviseurs, radio, antennes et tours de transmission de téléphone cellulaire…), on va mesurer la puissance émise, ou plus précisément la densité de puissance qui se définit comme « le taux d’énergie qui circule au travers d’une surface connue », la mesure étant prise à une distance de plusieurs longueurs d’onde de la source radiofréquence. Cette densité de puissance s’exprime en Watt/m2. Le DAS (Débit d’Absorption Spécifique : paramètre utilisé pour « chiffrer » la dangerosité des ondes),  est considéré comme une mesure quantitative pour une exposition proche de la source ; il correspond à la mesure de la quantité d’énergie absorbée par le corps. En fait le DAS correspond à un échauffement thermique, sans considération biologique.

– La seconde mesure concerne la fréquence des ondes qui se mesure en Hertz (Hz), ou nombre de cycles par seconde. 1 Hz = 1 cycle par seconde.

Le discours des experts « officiels » se situe essentiellement au niveau des mesures d’intensité.

Le phénomène de résonance

Les fréquences des appareils recouvrent, soit directement, soit par leurs harmoniques les mêmes plages de fréquences que les oscillations des ions calcium, magnésium, sodium, lithium… voire des systèmes plus complexes tels qu’acides aminés, ou même d’organes dans leur ensemble. Ces interférences de fréquences internes (biologiques) et externes (pollution électromagnétique) créent des phénomènes de résonances et de battements qui génèrent une altération du mouvement des ions au niveau cellulaire et modifient donc leur concentration au sein des cellules.

Pour rappel,  cela est montré par la concentration intracellulaire de calcium au niveau des cellules de la glande pituitaire qui est multipliée par plus de 2 après exposition au téléphone portable et revient à la normale avec les CMO.
Les appareils pollueurs sont donc sur les mêmes plages de fréquences que les mouvements de certains ions au niveau de la cellule, mais en plus l’intensité du rayonnement électromagnétique de ces appareils est des millions voire des milliards de fois plus forte.

La biotechnologie CMO 

Les solutions actives des CMO sont des solutions microcristallines, traitées par des fréquences accordées (directement ou par harmoniques) aux cibles biologiques devant être restaurées dans leur activité naturelle. Cette solution « garde en mémoire » ces fréquences utiles pour compenser les effets des champs électromagnétiques pollueurs, ceci grâce à ses propriétés d’enregistrement, et restitue alors ces signaux compensateurs infinitésimaux. Ces propriétés sont acquises par son traitement physique, proche par certains aspects des méthodes utilisées pour l’homéopathie.
De fait, l’environnement électromagnétique va activer la solution active des CMO, de la même manière qu’un tube néon placé sous une ligne Haute Tension va s’allumer. Cette solution microcristalline du CMO génère alors des micro-signaux, accordés avec les fréquences naturelles des ions calcium, magnésium, sodium, lithium etc au niveau de la cellule. Ces signaux vont ainsi corriger les phénomènes de résonance et de battement au niveau cellulaire précédemment induits par les appareils pollueurs.

Le rayonnement des CMO, ainsi mesuré, est d’intensité équivalente à celle des rayonnements des organes du corps (en particulier le cerveau*): environ 150 femtoTesla.
Les CMO « disent » aux ions du corps « recalez-vous sur votre fréquence originelle », c’est ce qui explique ensuite l’efficacité sur les paramètres biologiques. Cette efficacité est démontrée par la concentration en calcium, mais aussi par l’étude de multiples hormones ou autres marqueurs biologiques qui reviennent à la normale avec les CMO, malgré l’exposition aux ondes.

* « Cette solution saline oscillante, non ionisante, non toxique, produit une induction magnétique d’ultra faible intensité, mesurable, comme les inductions magnétiques d’origine biologique, en femtoTesla par  SQUID (Superconducting Quantum Interference Device). » extrait du site Comosystems.

Une analogie imagée pour comprendre le fonctionnement des CMO.

Si on symbolise le corps humain par un orchestre symphonique :

• Les systèmes biologiques sont représentés par les instruments de musique
• L’organisation générale est régie par le chef d’orchestre
• La pollution électromagnétique extérieure peut être modélisée par un autre groupe musical situé dans la pièce à côté qui n’aurait pas la même pulsation et inciterait ainsi les musiciens à se décaler, ou bien par un avion à basse altitude qui empêche les instrumentistes de s’écouter les uns avec les autres, ou un nuage de fumée qui empêche les musiciens de voir le chef d’orchestre. Globalement la pollution électromagnétique apporte une fragilisation des systèmes biologiques. S’ils sont solides ils pourront résister facilement ; s’ils ont déjà une fragilité de fond (intolérances alimentaires, flore intestinale déséquilibrée, intoxications aux métaux lourds, …), cette fragilisation supplémentaire risque d’aggraver la situation.
• Le CMO agit comme un (ou des) chefs d’orchestre d’appoints, cohérents avec le chef d’orchestre général, qui redonneront localement une bonne pulsation aux différentes sections instrumentales. Ainsi c’est la cohérence globale de l’orchestre qui est maintenue.